

Roman d’une histoire qui, à l’échelle de la planète, occupa plus d’espace dans les médias que la première élection de Barack Obama. Au début du XXIe siècle, le président d’une institution financière internationale est accusé de viol par une femme de chambre. Incarcéré pendant quelques jours dans une prison du continent américain, il est libéré sous caution et les poursuites sont finalement abandonnées. À la suite de cet incident, sa carrière est brisée et, après l’avoir soutenu lors de ses démêlés judiciaires, son épouse demande le divorce. Une histoire anodine? Seule la célébrité dont semblait jouir l’accusé à cette époque a pu pousser quelqu’un à s’en emparer. Cette affaire s’est effacée des réseaux avec le temps. Quelques résidus d’articles de presse nous amènent cependant à supposer un fond de réalité à cette histoire… « Un roman audacieux et truculent, sans réserve pour ses acteurs. […] Avec panache, l’écrivain déploie son style épique, sa gouaille rabelaisienne et son sens critique, son ironie sévère et drolatique dans la tradition française. Un roman bien bâti, avec une langue alerte, graveleuse et surtout moqueuse.
Roman d’une histoire qui, à l’échelle de la planète, occupa plus d’espace dans les médias que la première élection de Barack Obama. Au début du XXIe siècle, le président d’une institution financière internationale est accusé de viol par une femme de chambre. Incarcéré pendant quelques jours dans une prison du continent américain, il est libéré sous caution et les poursuites sont finalement abandonnées. À la suite de cet incident, sa carrière est brisée et, après l’avoir soutenu lors de ses démêlés judiciaires, son épouse demande le divorce. Une histoire anodine? Seule la célébrité dont semblait jouir l’accusé à cette époque a pu pousser quelqu’un à s’en emparer. Cette affaire s’est effacée des réseaux avec le temps. Quelques résidus d’articles de presse nous amènent cependant à supposer un fond de réalité à cette histoire… « Un roman audacieux et truculent, sans réserve pour ses acteurs. […] Avec panache, l’écrivain déploie son style épique, sa gouaille rabelaisienne et son sens critique, son ironie sévère et drolatique dans la tradition française. Un roman bien bâti, avec une langue alerte, graveleuse et surtout moqueuse.